mardi 25 décembre 2012

L'arrivée du Lindy Hop à Toulouse

Voici un article que j'avais écrit en décembre 2007 et que je re-publie ici...


Voici comment j’ai découvert le Lindy Hop… à son arrivée à Toulouse, en 1994.

En mai 1994, la section Danse du service des sports de l’université Paul Sabatier a organisé une conférence sur l’histoire des danses swing "Du Cake-Walk au Rock'n'Roll", retraçant l’histoire de la musique jazz, depuis ses origines dans les champs de coton, jusqu’au rock, et en parallèle celle des danses associées. L’histoire de la musique était racontée par Christian Dubar. Les moniteurs de la fac et des invités illustraient cette histoire par des démonstrations de Cake Walk, Charleston, Boogie, Rock, etc. Quand l’ère du Swing a été abordée, Andi et Béné ont dansé un Lindy Hop.

Je me suis alors dit « Whaou, voilà ce que j’ai envie de danser ! ».

Ce dernier couple de danseur avait chorégraphié sa démonstration à partir de vidéos d’époque et avait fait un Lindy « à leur façon ». Je crois que personne ne donnait encore de cours à Toulouse à ce moment-là.

Pendant l’été suivant, les moniteurs de danse de la fac sont partis à Herrang, en Suède pour se former au Herrang Dance Camp. A l’automne 94, le premier stage de lindy hop était organisé à la fac. En 6 h (d’affilé !), les stagiaires, dont je faisais partis, ont appris les bases : swing out, charleston et quelques variantes.
Il y a eu la même saison, en mars, un autre stage organisé.
Puis un troisième stage a eu lieu en mai  (voir ci-contre les images des flyers de ces stage).
La veille de ce troisième stage une soirée spectacle (était ce : "Sans-grillon - si le Swing m'était comté"?) a été produite, se terminant par une soirée en extérieur avec le Tuxedo Big Band. Ce soir là, tout le monde dansait avec enthousiasme du Rock sur de la musique Swing.

Ce n’est que beaucoup plus tard (plus d’un an après je crois) que des cours, plus ou moins réguliers, ont été donnés à la fac.

Le 144 a ouvert ses portes en Janvier 1996, mais Véro et Bruno enseignaient déjà le Lindy Hop dans un salle près de la gare Matabiau (je ne sais pas où exactement, n’y étant jamais allée, ni à partir de quand). Je pense qu’ils sont arrivés à Toulouse en même temps qu’Andi et sa cavalière s’auto-formaient en Lindy. Il me semble les avoir vu danser la première fois, pour la fête de la musique 1995 : un Big Band jouait cette année-là, place Wilson, et les danseurs s’étaient retrouvés derrière l’orchestre (je me souviens que les musiciens se tordaient le coup pour nous regarder ^_^ ). Véro et Bruno y étaient aussi, il me semble qu’ils avaient surtout dansé du Boogie (peut être que je ne faisais pas encore la différence !).

Pendant l’été 97, j’avais été à Londres, danser dans une soirée à Ealing à l’ouest de la ville, dans un très bel endroit (c’est souvent le cas des soirées à Londres). Le groupe « Sugar Ray’s Flying Fortress » jouait ce soir-là et j’ai eu l’opportunité de danser pour la première fois avec des lindy hoppers aguerris… je pense que cela a dû me motiver pour prendre des cours, il s’était avéré évident que j’avais encore beaucoup de choses à apprendre !
Aussi à l’automne suivant, j’ai commencé à prendre des cours au 144 (en niveau deb/intermédiaire).
  

dimanche 23 décembre 2012

Danseurs, organisateurs et si vous rejoigniez le réseau social Google Plus ?


Vous le savez sans doute déjà : Face Book (FB) n’est pas l’unique réseau social du Web. Mais avez-vous déjà entendu parler de Google+ (G+), l’avez-vous essayé ?

Vous devriez !

Il y a deux fonctionnalités qui devraient vous intéresser : les pages et les communautés.
  • Une page permet de présenter une entreprise, une marque, une association…
  • Une communauté est un espace d’échange thématique, un peu comme un groupe sous FB.


Quel intérêt  par rapport à FB me demanderez-vous?

Voici quelques avantages de ce qui me semblent particulièrement intéressants.

D’un point de vu général :
  •          Tout ce que vous publiez en « public » sur G+ (par exemple votre page, ou sur votre propre profil) sera affiché dans les recherches Google générales, ce qui n’est pas le cas pour FB ! Cela augmente considérablement votre visibilité sur Internet, en particulier si vous êtes organisateurs de stages, soirées, évènements…
  •        Je rappelle que sur G+ vous choisissez qui vous voulez suivre (mettre dans vos cercles) sans que cela soit nécessairement réciproque. Vous pouvez par exemple « encercler » votre star de la danse sans qu’elle ait besoin de vous y autoriser (pour en savoir + sur les cercles). Aussi votre flux sera nourri de posts qui vous intéressent !
  •         G+ n’est pas autant envahi par la pub que FB.

Pour les communautés en particulier :
  •          Vous pouvez partager des « évènements » avec une communauté. Pour les participants à l’évènement, celui-ci s’enregistre dans son Agenda Google.
  •         Vous pouvez créer 3 types de communautés : Publiques (n’importe qui peut participer), Privées (visible mais soumises à modération), Privées et invisibles (sur invitation).
  •         Vous pouvez classer les publications dans des rubriques proposées par la communauté, par exemple : Soirées, stages, évènements, vidéos, discussions, … C’est au modérateur de les créer, de les faire évoluer en fonction des besoins.

Alors, certes, les communautés sont toutes récentes (ouverture début décembre 2012) et ne regroupent pas encore beaucoup de membres… mais une fois l’intérêt et la facilité d’utilisation compris cela devrait changer !

Voici quelques liens vers des communautés G+ déjà existantes qui concernent la danse (non exhaustif):

Alors… à très bientôt sur G+ !